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Mal de dos, le début!

Mon mal de dos a commencé en 2005 à l’âge de 20 ans. Je me suis souvenu qu’à cette époque, ma douleur était déjà invalidante. Je suis souvent parti travailler pour ces terribles maux de dos. Ces douleurs ont ensuite été en dents de scie pendant plus de 10 ans avec de nombreuses approches paramédicales qui m’ont plus ou moins aidé.

Ma découverte, la chiropratique!

J’ai dû consulter, mais je ne savais pas encore vers qui me tourner ni comment je pourrais me soigner. J’ai commencé à chercher un spécialiste des Pages Jaunes. J’ai fini par trouver un chiropraticien que je devais choisir au hasard. Après 1 mois de consultations, à raison de 3 séances par semaine, j’ai ressenti presque plus de douleur. Cependant, j’étais sceptique quant à l’efficacité de la chiropratique. C’était peut-être juste une coïncidence, peut-être que ma douleur n’était qu’une situation temporaire dont mon corps avait pris soin de lui-même. J’ai donc décidé d’arrêter mes traitements qui auraient dû durer quelques mois. 4 à 5 semaines plus tard, mon problème de dos avait malheureusement refait surface. Avec un sentiment de honte et de culpabilité, je ne suis jamais retourné voir le chiropraticien avec qui les traitements fonctionnaient plus ou moins, mais que j’avais sans raison arrêté. Je suis donc allé consulter un nouveau spécialiste.

3 ans et une dizaine de chiropraticiens

Ensuite, j’ai consulté une dizaine de chiropraticiens pendant environ 3 ans qui ont suivi sans jamais avoir le même niveau de qualité de service que celui consulté auparavant. En 2008, j’ai donc décidé de retourner voir le même chiropraticien. J’ai de nouveau été satisfait des services. J’ai donc consulté cette clinique régulièrement et parfois avec des pauses de plusieurs semaines lorsque mon état était confortable entre 2005 et 2017.

Le cauchemar commence

Le cauchemar commence alors en mars 2017 le jour de mon anniversaire. Le coup fatal est donné simplement en se penchant pour ramasser ma béquille. Ma béquille! Oui, je venais de subir une opération au genou le 31 janvier 2017. J’avais le dos tendu de la pire des manières pendant ma convalescence après cette opération. J’ai utilisé des stupéfiants très puissants (codéine et morphine) une grande partie de cette convalescence et j’avais imaginé poursuivre mon mode de vie normal en allant travailler à temps plein le lendemain de mon opération et en plus de poursuivre mes cours à l’université à temps partiel le soir. . Bien sûr, si c’était à recommencer, je prendrais le temps d’avoir une récupération moins active. Suite à ce fameux dernier coup fatal pour ramasser ma béquille. J’ai alors des difficultés à bouger et à marcher, j’ai ressenti une forme de blocage au niveau des lombaires. J’ai vraiment senti qu’il y avait quelque chose de grave qui venait de m’arriver dans le dos. Pour aggraver les choses, le lendemain matin, je me suis réveillé avec une douleur atroce dans la jambe, la fesse, le mollet, la cheville et même le pied montant jusqu’au petit orteil. En d’autres termes, ce problème est appelé sciatique, douleur lombaire sévère, pincement du disque, compression du nerf sciatique ou hernie discale à L5-S1.

Mon pire ennemi ne mériterait pas ce terrible mal de dos!

J’ai commencé à prendre les narcotiques que j’avais à cause de ma chirurgie du genou. Je ne connais pas la raison exacte et même beaucoup ont été surpris, mais la morphine n’a pas réduit cette douleur. Ce qui était efficace pour réduire cette douleur était la codéine. Je suis allé voir quelques médecins par la suite pour me faire prescrire cette codéine. Certains médecins ont abusé de cette prescription, croyant parfois que j’étais tout simplement devenu accro à ces médicaments. J’étais conscient que ce n’était qu’une solution temporaire pour me permettre d’aller travailler tout en entendant trouver une vraie solution à long terme. Avec ces douleurs pratiquement tout exigeait 20 fois les efforts habituels, j’avais encore des difficultés à marcher. Mettre simplement mes bas et mes chaussures était une tâche très ardue. La seule position qui était apaisante était d’avoir mes jambes sur mon corps sur le canapé ou allongées sur le mur.